La fête clandestine
huile sur toile, 80 x 116 cm. Coll. particulière
Bravant des interdits sanitaires contestables et contestés, durant la pandémie du covid, la projection d’un excellent film de Jean Samouillan relatant le périple des chèvres en estive et l’auto-organisation d’une communauté de bergers, fut l’occasion d’une fête d’une rare élégance. Les chemins de montagne permettaient de fuir en cas d’assaut de la maréchaussée. La lumière était rose et l’on mangeait le chevreau avec du vin jeune. Cela, à mon sens, méritait le tableau. Il est aujourd’hui chez un maître de Qi Gong.