Lost in translation
huile sur toile 115×90 cm Prix3000€ + envoi
C’est le titre d’un joli film de Sofia Coppola sorti en 2003. Il désignait la confusion de deux Américains égarés au Japon. Il conviendrait bien à ce premier quart du 21ème siècle qui se veut le passage dans ce « nouveau monde » où le monde se met au service de la machine, de la circulation infinie et de l’illusoire conquête technologique de l’univers. Montaigne, l’écrivain véridique, écrivait dans ses Essais: « le monde est une branloire pérenne, je ne peins pas l’être je peins le passage ». Il savait bien que la peinture pense. Où est Andromède ?